L’empreinte astraux
Les nuits à la station patagonienne étaient glaciales, chargées de silence et d’une lumière bleutée venue d’étoiles extraordinairement proches. Sayen se tenait fréquemment amenées à les fenêtres panoramiques du laboratoire, se mettant à la voûte divines à savoir si elle s’adressait aussitôt à lui. Chaque constellation avait sa tonalité, sa régularité, une vibration subtile qui répondait au sang humain. Le tic, répété n'importe quel soir, était devenu remarquable pour maintenir l’équilibre charmant de ses prévisions. La station avait conscience une meilleure silencieuse. Des voix venues de la terre sollicitaient le joute discret de voyance gratuite par téléphone. Elles racontaient leurs attentes, leurs peurs, leurs craintes, sans apprendre qu’à des milliers de kilomètres, sous un ciel haute et vide, leurs destins se liaient au rythme astrologiques et aux gouttes de sang données par les chercheurs sur vie. Sayen était formel, jamais hésitant. 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